PROTOCOLE GERNEZ POUR UNE PRÉVENTION ACTIVE CONTRE LE CANCER
Pendant toutes ces années de début d’évolution, le cancer est cliniquement muet et ignoré, il ne se traduit par aucun trouble, ou seulement par quelques signes peu évocateurs. Les examens biologiques et d’imagerie médicale classiques ne révèlent rien. Le porteur n’en est pas conscient et le médecin ne peut le déceler.
La prévention active consiste à éradiquer les micro cancers lorsqu’ils sont encore au stade de la réversibilité, avant le stade de 1 million de cellules. Soit, environ avant les cinq ans de son évolution selon la courbe de Collins.
Le Protocole du Dr Gernez, c’est quoi ?
La prévention active élaborée par le Docteur André Gernez en collaboration avec le Docteur Pierre Delahousse est une méthode simple, efficace, sans danger et expérimentalement démontrée qui subit une occultation depuis quarante ans (Les résultats d’une étude Inserm de 1970 qui établit la réalité de cette prévention n’ont jamais été publiés). De son côté, l’Institut national américain du cancer a rendu publique cette procédure (Herald Tribune, 30 septembre 1987, New York City Tribune, 8 juillet 1987). Cette cure doit commencer à partir de l’âge à risque, vers 40 ans et est à pratiquer une fois par an sur une durée de trente jours, au début du printemps de préférence. Ainsi les embryons de cancer nés au cours de l’année sont détruits; ceux qui échapperaient à la procédure y sont de nouveau soumis l’année suivante avant qu’ils atteignent la masse d’irréversibilité à la 6° année. Voici les bases du protocole à mettre en place les trente premiers jours, sous le contrôle du médecin traitant :
- Acidification de l’organisme : Le Dr Gernez recommande de mettre le corps en état d’acidose, un environnement défavorable à la croissance des cellules cancéreuses. Contrairement à l’alcalose qui favorise leur développement.
- Jeûne relatif et restriction alimentaire : Réduire la ration quotidienne à un seul repas par jour pour induire une acidification qui perturbe le métabolisme des cellules cancéreuses, selon la théorie de Otto Heinrich Warburg, lauréat du prix Nobel en 1931. Des études ont montré que des restrictions alimentaires prolongent la longévité, comme l’ont démontré les recherches de Dr Clive McCay et Dr Roy Walford (centre Walford’s research 2000, Presse médicale du 6/11/71). En l’absence de nourriture, l’organisme profite pour lancer une opération de nettoyage. Toute sortes de molécules indésirables sont expulsées des cellules, tissus et organes, en direction du sang chargé de transporter tout cela vers les organes d’élimination et en particulier vers les intestins. C’est ce qui explique les maux de têtes et autres soucis temporaires, mais qui ne présentent aucun danger.
- Éviter certains produits néfastes : Il est conseillé d’éviter le sucre, le sel, les aliments riches en cholestérol, les viandes crues ou grillées, les charcuteries, les pâtisseries, et les conserves. Les produits stimulant les divisions cellulaires tels que le don du sang, la cortisone, le tabac, et l’alcool, ainsi que la sédentarité, sont également à proscrire.
- Privilégier l’oxygénation : Le Dr Gernez met l’accent sur l’importance de l’oxygénation du corps par des promenades en forêt, des exercices physiques réguliers, et la consommation de fruits acides et de légumes comme le brocoli, le chou et le chou-fleur.
- Supplémentation quotidienne : Pour soutenir le développement des cellules normales, il est recommandé de compléter l’alimentation avec des vitamines A, B, C, D3, E, du magnésium, des oligo-éléments, du sélénium, de l’aspirine, du bêta-carotène, et des flavonoïdes, etc.
- Traitement préventif terminal : Enfin, le protocole suggère de terminer par une phase de dix jours destinée à éliminer les micro-cancers, utilisant des substances comme la colchicine, l’hydrate de chloral et d’autres produits anti-cancer, tout en respectant les régulations locales concernant l’utilisation de médicaments spécifiques.
L’hydrate de chloral
L’étude de l’incidence des cancers sur des milliers de cas pendant près d’un siècle a permis de découvrir l’effet de l’hydrate de chloral. On s’est aperçu vers 1937 qu’une fraction de la population échappait au cancer : il s’agissait des malades mentaux internés. Cet état de fait, constaté dans tous les pays européens a beaucoup intrigué avant qu’en soit découverte la raison : on administrait à ces malades un sédatif afin qu’ils se tiennent tranquilles dans les dortoirs. Ce sédatif, c’est l’hydrate de chloral qui est aussi un antimitotique, c’est-à-dire un anticancéreux, le premier antimitotique découvert. Son effet anticancéreux est trop léger pour être utilisé dans les traitements des cancers déclarés, mais il est largement suffisant pour détruire les quelques cellules mutées initiales. Ce produit est sans danger, il était aussi administré aux nourrissons lors des poussées dentaires, sous forme de sirop Teyssedre, ou en bain de bouche sous la forme du Synthol. Puis, on remplaça Fhydrate de chloral par les dérivés du Largactyl (découvert par Henri Laborit en 1952) — qui ne sont pas anticancéreux — pour calmer les malades mentaux. Ceux-ci retrouvèrent alors le même taux de cancérisation que la population générale (thèse du docteur Marc Dumont (1983) Lille et Tribune médicale 19 février 1972). L’hydrate de chloral fut retiré du marché Le 17 septembre 2001 (par l’’Afssaps, Agence française de sécurité sanitaire des produits de santé, pour effets mutagènes et cancérigènes).
La colchicine
La colchicine est un mitostatique extrait du colchique d’automne, déjà connu comme poison antitumoral par
Padanius Dioscoride dans De Materia Medica, 1 y a environ : 2000 ans. Depuis un siècle, la colchicine est prescrite pour la douleur des goutteux et l’on a constaté que leur morbidité athéromateuse était beaucoup plus faible que dans la population générale. Ce produit éradique aussi les embryons de cancer.
Description détaillée du protocole Gernez de prévention active contre le cancer
1. Acidification de l’organisme
L’acidification de l’organisme constitue une composante clé du protocole anti-cancer élaboré par le Dr André Gernez. Ce processus repose sur la théorie selon laquelle un environnement corporel légèrement acide est défavorable à la croissance et au développement des cellules cancéreuses. Le Dr Gernez a approfondi cette notion en s’appuyant sur des études qui démontrent que les cellules cancéreuses prospèrent préférentiellement dans un milieu alcalin.
Principes de l’acidification
Pour induire un état d’acidose, le Dr Gernez recommande plusieurs ajustements alimentaires et de mode de vie. La première étape consiste à modifier le régime alimentaire pour favoriser des aliments qui sont naturellement acidifiants. Cela implique souvent une réduction de la consommation d’aliments hautement alcalins et une augmentation des aliments qui contribuent à l’acidité métabolique. Par exemple, les protéines animales, les céréales, certains fromages et les aliments transformés peuvent aider à abaisser le pH du corps.
Impact métabolique
La théorie sous-jacente est basée sur le métabolisme cellulaire, où un environnement acide peut inhiber l’utilisation de l’oxygène par les cellules cancéreuses, selon la théorie métabolique du cancer. Ce phénomène réduit la capacité des cellules cancéreuses à réaliser la glycolyse, le processus par lequel elles produisent de l’énergie en l’absence d’oxygène, et qui est plus efficace dans un environnement alcalin.
Applications pratiques
Dans la pratique, le Dr Gernez a suggéré des interventions telles que la restriction calorique intermittente ou des jeûnes courts, qui peuvent également contribuer à induire une acidose métabolique. De plus, la consommation régulière de certains fruits et légumes acides est encouragée, tout en limitant les aliments qui sont naturellement alcalins comme les légumes verts à feuilles et les fruits trop mûrs.
En résumé, l’approche du Dr Gernez pour l’acidification de l’organisme dans la prévention du cancer est fondée sur un ajustement du régime alimentaire et du mode de vie, visant à créer un environnement moins propice à la survie et à la prolifération des cellules cancéreuses. Cette stratégie fait partie intégrante de son protocole plus large, visant à réduire le risque de cancer par des moyens naturels et préventifs.
Le jeûne relatif et la restriction alimentaire constituent une partie essentielle du protocole de prévention du cancer proposé par le Dr André Gernez. Ces pratiques sont fondées sur la théorie selon laquelle réduire l’apport calorique peut non seulement contribuer à acidifier l’organisme, mais aussi limiter la prolifération des cellules cancéreuses. Voici une exploration plus approfondie de ces concepts dans le cadre du protocole Gernez.
2. Jeûne relatif et restriction alimentaire
Le jeûne relatif, selon le Dr Gernez, n’implique pas une abstention complète de nourriture mais plutôt une réduction significative de l’apport calorique quotidien. Cette approche peut impliquer de limiter l’alimentation à un seul repas par jour ou de réduire les portions lors des repas réguliers. L’idée est de créer des périodes prolongées où le corps est amené à puiser dans ses réserves énergétiques, ce qui pourrait aider à combattre les processus pathologiques, y compris la croissance des tumeurs.
Effets métaboliques du jeûne
Lorsqu’on pratique le jeûne, le corps entre dans un état de stress léger appelé cétose, où il brûle des graisses pour l’énergie en l’absence de glucose. Ce changement métabolique peut réduire l’inflammation, baisser les niveaux de sucre dans le sang, et diminuer la production d’hormones comme l’insuline, qui sont associées à la croissance des cellules cancéreuses. De plus, la cétose est connue pour induire un milieu corporel plus acide, ce qui est défavorable au développement des cellules cancéreuses.
Restriction alimentaire
La restriction alimentaire va de pair avec le jeûne relatif. Elle consiste à contrôler et réduire l’apport énergétique global, en privilégiant des aliments à faible densité calorique mais riches en nutriments. Cela comprend une augmentation de la consommation de fruits et légumes, de protéines maigres, et une réduction des graisses saturées, des sucres et des glucides raffinés. La restriction alimentaire peut non seulement aider à prévenir le cancer, mais également améliorer la longévité et réduire les risques de nombreuses maladies chroniques.
Implications à long terme
Des études ont montré que le jeûne et la restriction calorique peuvent avoir des effets bénéfiques durables sur la santé. Des recherches comme celles de Dr Clive McCay et Dr Roy Walford ont démontré que les animaux soumis à une restriction calorique vivaient plus longtemps et avaient moins de maladies liées à l’âge, y compris le cancer. Chez les humains, ces pratiques ont été associées à une amélioration de la sensibilité à l’insuline, à une réduction de l’inflammation et à une meilleure gestion du poids.
Le jeûne relatif et la restriction alimentaire, en tant que composantes du protocole du Dr Gernez, offrent une méthode proactive pour gérer le risque de cancer et d’autres maladies chroniques. En adoptant ces pratiques, les individus peuvent potentiellement améliorer leur qualité de vie et augmenter leur longévité, tout en créant un environnement corporel moins propice à la croissance des cellules cancéreuses. Comme toujours, il est essentiel de consulter un professionnel de santé avant de commencer tout nouveau régime alimentaire ou programme de jeûne, particulièrement pour les individus ayant des conditions médicales préexistantes.
Quels aliments consommer dans le régime Gernez ?
Aliments interdits
Les aliments suivants sont généralement à éviter car ils peuvent favoriser un environnement corporel alcalin ou stimuler des processus qui facilitent la croissance des cellules cancéreuses :
- Sucres : sodas, bonbons, gâteaux, biscuits et autres sucreries.
- Sel raffiné : sel de table classique et aliments très salés.
- Aliments riches en cholestérol : viandes rouge (bœuf, porc, agneau), produits laitiers entiers.
- Viandes transformées : charcuteries, salami, saucisses, jambon, bacon.
- Viandes crues et grillées : due à la présence de composés potentiellement cancérigènes formés lors de la cuisson à haute température.
- Pâtisseries et produits de boulangerie : surtout ceux qui sont industriels et contiennent des conservateurs.
- Conserves : souvent riches en sodium et en conservateurs.
- Alcool : toutes les formes d’alcool.
- Produits laitiers gras : lait de vache et produits laitiers entiers (fromage, crème glacée, crème, beurre) à haute teneur en matières grasses.
- Café et boissons énergisantes : particulièrement ceux à haute teneur en caféine.
Aliments recommandés
Les aliments suivants sont encouragés car ils peuvent aider à acidifier l’environnement corporel et sont généralement bénéfiques pour la santé globale :
- Fruits acides : citrons, citrons verts, oranges, pamplemousses, kiwis.
- Légumes : tomate, crucifères (brocoli, chou, chou-fleur, chou frisé, cresson, radis, navet), épinards. Chou kale (en modération car certains peuvent être alcalinisant).
- Protéines maigres : blanc de poulet, dinde, lapin, veau maigre, gibier (cerf, sanglier, bison), poissons blancs (cabillaud, sole, perche), thon, saumon, sardines, crevettes, moules, huîtres, œufs.
- Légumineuses : lentilles, fèves, soja, pois chiches, haricots noirs.
- Céréales complètes : quinoa, riz brun, avoine complète.
- Noix et graines : amandes, noix de cajou, noix, graines de tournesol, graines de lin, graines de chia, chanvre.
- Huiles saines : huile d’olive, huile de coco, huile d’avocat.
- Thé vert : connu pour ses propriétés antioxydantes.
- Ail, persil et oignons : Riches en composés sulfurés aux propriétés anticancéreuses.
- Eau : buvez beaucoup d’eau tout au long de la journée pour rester hydraté. Favorisez les eaux riches en silicium et en sélénium
L’HORMONE DE CROISSANCE ET LE CANCER
L’hormone de croissance (GH ou STH ou HGH pour Human Growth Hormon où somatotrophine) intervient dans la division des cellules souches et joue un rôle central dans la croissance cellulaire et donc de celle de l’individu pour atteindre la taille adulte, À partir de cet âge, l’intérêt de l’hormone de croissance diminue fortement (Linquette, Fossati).
Malheureusement la mode actuelle est de présenter cette hormone de croissance — comme beaucoup d’hormones — comme un moyen de retrouver vitalité et jeunesse. Il n’en est rien.
L’hormone de croissance provoque :
- D’une part, l’accélération du tarissement des cellules souches. Dans un premier temps, l’absorption d’hormone de croissance va stimuler la division des cellules souches entrainant la création de « tissu neuf » et peut ainsi procurer une sensation de jouvence qui risque d’être seulement provisoire. En effet, une fois le stock de cellules souches épuisé, le vieillissement se manifeste, et plus grave, un raccourcissement de l’espérance de vie ou la flambée d’une maladie dégénérative (Alzheimer, Parkinson..….). Pour vivre vieux et en meilleure santé possible, il faut préserver son stock de cellules souches, tout en favorisant le fonctionnement optimum de ses cellules fonctionnelles.
- D’autre part, l’hormone de croissance entraîne la prolifération cellulaire, y compris des cellules d’un cancer connu où encore invisible.
Les faits biologiques suivants ont été démontrés depuis longtemps, par de nombreux chercheurs :
- Une personne dont l’’hypophyse ne sécrète plus cette hormone pour différentes raisons ne contracte pas de cancer. Les animaux auxquels on a supprimé lhypophyse ne se cancérisent pas (Courtial)1®.
- L’hormone de croissance stimule la prolifération cancéreuse, in vitro comme in vivo (Sibilly, Weiïll, Sühler). — Une hyper-réceptivité à l’hormone de croissance accroît l’incidence cancéreuse. Ainsi l’étude du Dr Jane Green!! montre que les femmes de grande taille ont plus de risques de développer un cancer. La croissance ayant été plus forte chez celles-ci, le potentiel divisionnaire de leur stock de cellules souches s’en trouve réduit. Lorsqu’une lésion se produit dans un tissu, il reste moins de cellules souches saines pour réparer le tissu et rétablir l’équilibre de la colonie de cellules. C’est alors que peut se produire la cancérisation.
- Une hypo réceptivité à l’hormone de croissance interdit la cancérisation ; l’étude de Jaime Guevara-Aguirre et Valter Longo s’intéresse à une communauté des Andes équatorienne. Certains de ses membres atteints d’une insensibilité à cette hormone (et en conséquence atteints de nanisme) sont protégés du cancer. Cette étude à fait l’objet d’un documentaire ARTE France : « Secrets de longévité », un film de Sylvie Gilman et Thierry de Lestrade, diffusé sur ARTE le 04/04/2013%.
- Les cellules cancéreuses ont une avidité pour l’hormone de croissance proportionnelle à leur potentiel mitotique qui est grand. L’inhibition hypophysaire leur est donc plus défavorable qu’aux cellules orthoplasiques (mémoire La carcinogenèse : mécanisme et prévention, groupe Nihous, 1969%);
- L’incidence du cancer décroît après 70 ans, du fait du déclin de l’hormone de croissance avec l’âge :
Remarque : Sur le schéma ci-dessus, il faut tenir compte des 5 à 8 ans qui s’écoulent entre l’éclosion de la première cellule et l’émergence clinique du cancer. Si le pic d’incidence de cancers détectés est à 75 ans environ, alors le pic d’incidence de cancers naissants est vers 70 ans.
La cancérisation est corrélée à la sécrétion de l’hormone de croissance. Un demi-siècle de réflexion et d’expérimentation confirme la corrélation négative entre la cancérisation et l’hormone de croissance.
Il procède de l’évidence qu’il suffit de supprimer l’hormone de croissance pour supprimer la cinétique de l’embryon de cancer et entraver celle du cancer cliniquement émergé.
L’inhibition de la sécrétion de l’hormone de croissance ne provoque pas de maladie, ni d’effets secondaires sensibles (Schaub).
Elle est obtenue par une procédure ambulatoire simple, sans hospitalisation, sans chirurgie, sans anesthésie, consistant à appliquer à l’hypophyse un flash de gamma-irradiation (13,5 mCi) qui respecte les autres stimulines. L’appareillage adéquat existe et la solution est applicable à tous les cancéreux, en traitement, en instance de récidive, appartenant à un groupe à risque et même au stade ultime.
AUTRES PROPOSITIONS CURATIVES DU CANCER
Outre le tarissement de l’hormone de croissance, André Gernez a élaboré d’autres méthodes curatives du cancer :
- la chimiohyperthermie : l’hyperthermie provoquée ou la stimulation des cellules cancéreuses pour qu’elles sortent de leur quiescence lors du traitement par un antimitotique. L’hyperthermie stimule simplement la réalisation de la mitose des cellules qui sont en phase pré-mitotique et les rend de ce fait vulnérables aux antimitotiques,
- l’antimitogramme pour cibler d’une façon optimale l’effet d’une chimiothérapie,
- La stabilisation homéostasique par cytolysats humoraux,
- La transfusion de globules blancs autologues,
- l’intégration radio-chimiothérapique.
Ces méthodes ne seront pas développées dans cet ouvrage mais sont détaillées dans les mémoires du Dr Gernez (en particulier Le cancer : dynamique et éradication).
RÉACTION DU MONDE SCIENTIFIQUE
Appel du Professeur Gellé
Une intervention du Président de l’Ordre des médecins du Nord, le Professeur Paul Gellé, prévue à la télévision a été annulée en toute dernière minute, mais diffusée par la presse (voir ci-dessous).
APPEL SOLENNEL DU PROFESSEUR GELLÉ
Président de l’ordre des Médecins du Nord (4 novembre 1971).
Le caractère solennel de cet appel est nécessité par la nature grave de la matière, Il s’agit du cancer. Parmi les auditeurs adultes qui m’écoutent, et qui mourront dans l’année à venir, 38 % d’entre eux en seront la victime. I] n’est pas question d’un traitement curatif, mais uniquement d’une prévention de ce fléau. Elle est actuellement basée sur des propositions qui ont été jugées, contrôlées et expérimentés sur des animaux depuis plusieurs années, De sorte que toute attitude dilatoire retire toute chance à la fraction de population qui entre dans l’âge de vulnérabilité. Il ne s’agit pas de proposer ou de défendre une thèse, mais de rompre un silence volontairement érigé, concerté et maintenu, sans aucune justification d’ordre éthique, et ce, en dépit de toutes les tentatives,
Le Président du Conseil de l’Ordre, conscient de la rigueur des exposés, au courant des multiples témoignages émanant des plus hautes autorités en Îa matière qui en reconnaissent la valeur, a considéré qu’il était de son devoir de donner son concours et sa garantie morale à une action entreprise en vue de la protection de la santé ; c’est du reste une obligation qui lui est imposée par l’article 41 du Code de Déontologie.
Chacun, maintenant doit prendre les responsabilités qu’il croit pouvoir assumer et les moyens d’action qu’il pense à sa portée, sans compter sur l’action du voisin qui risque fort d’adopter la même attitude.
C’est la seule façon d’aboutir rapidement à un résultat.
Remise de la médaille Hans Adalbert Schweigart
Le 17 juin 1979 à Salzbourg, l’Union Mondiale de la Protection de la Vie, remet la Médaille Hans Adalbert Schweigart à André Gernez pour la division cellulaire, la prévention active et la guérison du cancer. Le zoologiste autrichien Konrad Lorenz, prix Nobel de physiologie et de médecine reçoit également la médaille le même jour. L’Union Mondiale de la Protection de la Vie est une institution internationale dotée d’un conseil scientifique groupant 400 savants dont 40 prix Nobel. Son président d’honneur était Linus Pauling (1901-1994), double prix Nobel de chimie (1954) et de la paix (1962), son président le professeur Gunther Schwab.
Il s’agit de la principale reconnaissance internationale reçue par André Gernez.
Remise de la Grande Médaille d’Or 2012
Le docteur André Gernez a reçu, le vendredi 26 octobre 2012, la Grande Médaille d’Or 2012 de la Société d’Encouragement au Progrès au Sénat à Paris, pour l’ensemble de ses travaux.
C’est la seconde fois que la SEP récompense ses travaux, puisqu’il avait déjà reçu la Médaille d’Or le 17 novembre 2007.
Extrait du livre Les Maladies Degeneratives Les Propositions du Docteur André Gernez par Soline Abbeville, Jacques Lacaze, Pierre Delahousse (https://archive.org/details/les-maladies-degeneratives-les-propositions-du-docteur-andre-gernez-by-soline-ab/page/54/mode/2up?view=theater)